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Écharpe

Triptyque, 2014

Poésie

Le corps d’Isadora n’est plus. Si l’on peut survivre à un accident de la route, on n’échappe pas aux multiples deuils qui ponctuent l’existence, comme à ces nuits qu’il faut traverser, seul ou à deux. On tire une ficelle, on se tricote sa propre écharpe, sa propre fin, éloignant ceux qui nous sont chers. Et, quand on retourne au salon, ce sont tous ces morts que l’on salue, sans oublier celle par qui tout a commencé, celle qui a tant pris soin des corps des autres.
À l’aide d’une prose imagée et sensible, Aimée Verret tisse des liens entre sa propre vie et celle de la danseuse Isadora Duncan, dont l’existence tragique a marqué un grand nombre d’artistes et d’écrivains.

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